Les années 50, la méditerranée comme toile de fond, entre Tunis et le Sud de la France, ma grand-mère, Madame Augier de Moussac, qui déambulait sur un marché pour acheter du jasmin, dans le restaurant d’un grand hôtel, ou lors d’une soirée mondaine entourée d’artistes, avec son essentiel, sa ceinture, qui habillait n’importe quelle tenue…
Sur une robe, une tunique, une jupe longue, une veste ou un gilet selon l’humeur. Elle a fait fabriquer ce modèle chez son cordonnier de l’époque et m’en a fait cadeau comme un héritage précieux « Tu verras, elle habillera n’importe qu’elle tenue, tu ne pourras plus t’en passer ».